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1 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentConversations parisiennes: Anne Hébert et Madeleine Gagnon (1 de 4)
Date de création 1997-12-26
InvitésHébert Anne, auteur; Gagnon Madeleine, auteur
ArtisansDumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméEn février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Elles se rappellent leur première rencontre, discutent de l'écriture d'Anne Hébert dans les années 1950, qui reflète une révolte écrite intérieure qui dénonçait l'ombre qui pesait sur la société québécoise. Elles soulèvent la difficulté d'être écrivain; elles citent Flaubert, Verlaine. Elles parlent de la lumière qui émane de la poésie qui se révèle l'expression du subconscient et ce bien avant les théories de Freud. Madeleine Gagnon dénonce les analyses faites dans les universités qu'elle appelle "l'empire des grilles", dans lesquelles on dissèque les textes des auteurs. Il ne faut surtout pas avoir la prétention de tout comprendre, disent-elles, et savoir apprivoiser l'énigme. Le combat entre la vie et la mort dans les écrits d'Anne Hébert. La place faite à la poésie dans les librairies; la traduction et la difficulté de rendre la musicalité des propos. La littérature masculine ou féminine, un concept inexistant selon elles.
De la musique sur disques complète l'émission.
Mots clésCritique littéraireFemmesLittératureLittérature françaiseLivre et éditionParisPoésieSociété
Remarques sur
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Cette émission a été rediffusée le 2000-03-09 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences".
Identifiant1260121
Mise à jour 2019-03-07
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2 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentConversations parisiennes: Anne Hébert et Madeleine Gagnon (2 de 4)
Date de création 1997-12-29
Durée du segment00:25:30
InvitésHébert Anne, auteur; Gagnon Madeleine, auteur
ArtisansDumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméEn février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce deuxième volet, les deux femmes parlent de l'importance de l'eau dans leurs écrits, reflet des réminiscences de leur enfance, de leur jeunesse ou encore de leur première traversée de l'Atlantique en bateau. Elles partagent aussi leurs réflexions sur l'acte d'écrire, sur la poésie et la barrière ténue avec le rêve. Enfin, elle racontent leur parcours de vie, leur enfance; Madeleine Gagnon se remémore plus particulièrement ses années d'études chez les Ursulines à Québec. De la musique sur disques complète l'émission.
Mots clésConsidérations littérairesFemmesLittératureParisPoésieSouvenirs
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Cette émission a été rediffusée le 2000-03-10 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences".
Identifiant1260123
Mise à jour 2019-03-07
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3 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentConversations parisiennes : Anne Hébert et Madeleine Gagnon (3 de 4)
Date de création 1997-12-30
Durée du segment00:26:48
InvitésGagnon Madeleine, auteur; Hébert Anne, auteur
ArtisansDumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméEn février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce troisième volet, les deux femmes parlent de leurs années d'études. Ce furent des années difficiles pour elles. Anne Hébert déménageait souvent, changeait d'école et a terminé ses études après sa neuvième année pour raison de santé. Madeleine Gagnon qui vient de la Matapédia se frappe au snobisme des jeunes filles de la haute-ville chez les Ursulines de Québec. Elle finira son cours à Notre-Dame-d'Acadie à Moncton. Les deux femmes évoquent leurs motivations d'écrire. Anne Hébert parle de ses premières publications et de la réaction des éditeurs de l'époque. Anne Hébert et Madeleine Gagnon évoquent ensuite leur désir de quitter le Québec et d'aller en France voir le pays de leur culture. Pour elles, l'éloignement leur a permis d'écrire, de s'approprier des lieux, de se nourrir pour mieux écrire. Elles abordent finalement l'acte de l'écriture. Il est difficile pour Anne Hébert lorsqu'il s'agit d'un roman. Madeleine Gagnon explique qu'elle anticipe le plaisir qui naîtra bientôt lorsque l'histoire prendra forme. De la musique sur disques complète l'émission.
Mots clésÉducationFemmesLittératureLivre et éditionParisPoésieRomanSociétéSouvenirs
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Cette émission a été rediffusée le 2000-03-16 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences".
Identifiant1260211
Mise à jour 2019-03-07
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4 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentConversations parisiennes : Anne Hébert et Madeleine Gagnon (4 de 4)
Date de création 1997-12-31
Durée du segment00:26:25
InvitésHébert Anne, auteur; Gagnon Madeleine, auteur
ArtisansDumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméEn février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce quatrième volet:, les deux femmes parlent de leurs perceptions de la société québécoise et occidentale. Anne Hébert mentionne qu'au point de vue littéraire au Québec, il y a beaucoup d'auteurs et beaucoup de points de vue différents qui s'expriment, ce qui est positif. Mais elle entend également que le Canada est au bord de la faillite et le Québec au bord d'une catastrophe. Madeleine Gagnon approuve en parlant d'effritement du tissu éthique dans la société. La laideur règne dans l'architecture des villes, la bêtise règne sur l'humour qui est omniprésent. Cette laideur architecturale, Anne Hébert dira qu'on la retrouve partout depuis quelques années. Elles parlent ensuite des poètes qui eux, parlent de la mort, la regardent avec des yeux de vivant, dans une société qui nie la mort et la maladie. Elles concluent sur l'importance d'être authentique avec soi-même.
De la musique sur disques complète l'émission.
Mots clésCultureFemmesLittératureParisPoésieSociété
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Cette émission a été rediffusée le 2000-03-17 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences".
Identifiant1260212
Mise à jour 2019-03-07
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5 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (16 de 20)
Date de création 1998-05-25
Durée du segment00:59:00
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Arbour Rose-Marie; Renaud Thérèse, auteur, signataire du Refus global; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Renaud Jeanne, danseuse
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSeizième volet de la série: l'art au féminin (1 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global" et Rose-Marie Arbour, auteure de "Le cercle des automatistes et la différence des femmes" : l'importance de souligner dans la production automatiste l'existence de deux manuscrits poétiques, l'un de Thérèse Renaud, l'autre de Suzanne Meloche, artiste peintre; pourquoi on a marginalisé les femmes artistes; le mythe des "petites amies" des hommes du mouvement; l'esthétique automatiste féminin; l'idéalisme des hommes et le réalisme des femmes chez les Automatistes; la contribution des femmes par le biais de la nombreuse documentation qu'elles rapporteront de leurs voyages à l'étranger; on souligne particulièrement l'apport de l'artiste Louise Renaud. Thérèse Renaud raconte son enfance et ses premiers coups de coeur pour le théâtre grâce à la fréquentation de sa cousine, Estelle Mauffette; son séjour à Paris et son expérience de chanteuse de retour à Montréal. Françoise Sullivan et Jeanne Renaud: le rapport de Borduas avec les femmes du mouvement automatiste.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeChansonCultureFemmesLittératureParisSouvenirsThéâtre
Identifiant1264071
Mise à jour 2019-03-07
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6 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (17 de 20)
Date de création 1998-05-26
Durée du segment00:59:20
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Marchand Jean, comédien, lecteur; Faucher Sophie, comédienne, lectrice; Arbour Rose-Marie; Gauvreau Pierre, auteur, signataire du Refus global
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-septième volet de la série: l'art au féminin (2 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global": les différences entre les écoles automatiste et surréaliste, cette dernière marquée par un univers masculin où le corps de la femme est au centre de leurs préoccupations; le style de vie avant-gardiste de Mme Gauvreau, mère de Pierre et Claude, une militante qui a servi de modèle aux femmes du mouvement automatiste. Pierre Gauvreau rappelle les origines bourgeoises de sa mère, le mariage en 1921 et la séparation de ses parents en 1925, la vie de sa mère après la rupture, la mise sur pied d'un salon où elle réunissait des artistes. Lecture d'un extrait du texte "Beauté baroque" de Claude Gauvreau, relatant le récit d'un avortement et qui se veut l'écho du destin tragique de Muriel Guilbault, une femme en rupture avec les valeurs de son époque. Rose-Marie Arbour, auteure de «Le cercle des automatistes et la différence des femmes», poursuit la réflexion la conception des femmes par les surréalistes versus la conception plus laïque des hommes du groupe automatiste; les femmes du mouvement automatiste, des artistes multidisciplinaires en art. Entrevue avec Jeanne Renaud et Françoise Sullivan au sujet de leur démarche créatrice dans la danse. Lecture d'un texte de Françoise Sullivan sur la recherche de la vérité dans le corps.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureFemmesLecturesSouvenirsSurréalisme
Identifiant1264704
Mise à jour 2019-03-07
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7 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (18 de 20)
Date de création 1998-05-27
Durée du segment00:59:25
InvitésArbour Madeleine, signataire du Refus global; Trépanier Esther, historienne de l'art
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-huitième volet de la série: l'art au féminin (3 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. L'historienne de l'art, Esther Trépanier, évoque les années 1920 et 1930 afin de rappeler que la modernité, notamment celle des femmes, ne commence pas avec Paul-Émile Borduas et son groupe. Les femmes du Beaver Hall Club de Montréal. Les artistes féminines des années 1930: Marian Scott, Mary Cassat, etc. L'avènement de la crise en 1929 et sa représentativité en art. Esther Trépanier souligne la longue tradition de l'enseignement de l'art aux enfants, initiée en 1936 par le docteur Norman Bethune avec l'aide de Marian Scott, surtout du côté de la communauté anglophone de Montréal qui a été particulièrement sensible à la démocratisation de l'art auprès des moins nantis; l'art des enfants et celui des Amérindiens, justifications de la spontanéité. Entrevue avec Madeleine Arbour (signataire du Refus global), âgée de plus de soixante-dix ans et toujours active: son apprentissage autodidacte de l'art, sa première rencontre avec Borduas, la sensibilité qui émane d'une oeuvre d'art; son travail à la télévision dans le secteur des émissions jeunesse, puis aux émissions féminines à Radio-Canada; son souci de faire découvrir les belles choses au gens pour qu'ils puissent s'en inspirer; la réaction négative de sa mère face à son désir d'évoluer dans le milieu des arts; la dimension mystique de la vie.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureFemmesGroupes et réseauxMédias
Identifiant1264705
Mise à jour 2019-03-07
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8 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentCréations et procréations (3 de 3)
Date de création 1998-06-17
Durée du segment00:57:48
InvitésHuston Nancy, écrivaine; Gagnon Madeleine, écrivaine; Jurgenson Luba, écrivaine russe; Boukjobza Chochana, écrivaine tunisienne
ArtisansDumais Doris, réalisateur; Durand Monique, animatrice
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméTroisième de trois émissions sur la création littéraire chez les femmes. Monique Durand s'entretient avec l'écrivaine russe Luba Jurgenson, l'écrivaine tunisienne Chochana Boukhobza, l'écrivaine québécoise Madeleine Gagnon et l'écrivaine canadienne-anglaise Nancy Huston. Les thèmes de l'écriture et de la maternité sont abordés lors de cette émission. Nancy Huston affirme que le fait d'avoir des enfants l'a aidée à devenir un meilleur écrivain. Madeleine Gagnon pense que cela a joué dans les deux sens. Elle est devenue un meilleur écrivain et elle était une meilleure mère car elle faisait une oeuvre de création. Les notions de pulsions de vie et de pulsions de mort dans la maternité sont discutées. Pour les quatre écrivains la maternité a été importante dans leur vie. Nancy Huston insiste sur l'importance pour les hommes et les enfants d'avoir des contacts physiques ensemble. Dans l'œuvre de Madeleine Gagnon, on remarque les thèmes de l'enfantement de la vie et l'enfantement des mots qui se retrouvent souvent. Madeleine Gagnon et Nancy Huston parlent de l'époque où elles lisaient des textes d'Hélène Cixous. C'était une période où il fallait affirmer sa différence comme femme. Aujourd'hui, elles ont pris de la distance face à ce courant de pensée. Elles répondent à la question "Pourquoi les femmes s'identifient-elles physiquement à ce qu'elles créent?" Madeleine Gagnon et Nancy Huston sont d'accord pour dire qu'aujourd'hui la société est mieux organisée pour permettre aux femmes de créer.

Lecture de certains extraits: "Les cathédrales sauvages" de Madeleine Gagnon, lue par Nancy Huston, "L'infante immémoriale" de Madeleine Gagnon, lue par Madeleine Gagnon, "Journal d'une création" de Nancy Huston, lue par Nancy Huston, "Mère et poète" de Elizabeth Barrett Browning, lue par Nancy Huston.
Mots clésFemmesLittératureLittérature anglo-canadienneLittérature étrangèrePoésieRomanSociété
Identifiant1261067
Mise à jour 2019-03-07
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